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Les jeunes femmes ne représentent, dans de nombreux pays, que 25 % des étudiants en ingénierie ou en applied sciences de l’data et de la communication (TIC). Remark expliquer l’absence des filles dans les domaines de la science, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) et des TIC ?
Dans un nouveau document, l’UNESCO et l’Affiliation internationale pour l’évaluation des résultats scolaires (IEA) explorent la relation qui existe entre le style des élèves, leur confiance en soi et leurs résultats en sciences et en mathématiques, ainsi que leur aspiration à poursuivre une carrière dans ces domaines.
Facteurs en jeu
Alors que de nombreux pays investissent des ressources significatives dans les TIC et les STIM, on constate des disparités entre les genres à la fois dans l’emploi et dans l’éducation. Trop de filles et de femmes sont découragées par les normes et les stéréotypes de style qui déterminent les matières qu’elles étudient et, au closing, les carrières qu’elles choisissent.
Sur la base des données des Trends in International Mathematics and Science Study (TIMSS) de l’IEA pour 2019, le doc révèle que dans presque tous les systèmes éducatifs (87 %), les garçons disent beaucoup plus souvent que les filles souhaiter choisir une carrière faisant intervenir les mathématiques.
Les systèmes éducatifs où un plus grand nombre de garçons aspire à des carrières scientifiques sont aussi ceux où ils sont les plus nombreux à vouloir opter pour des carrières faisant intervenir les mathématiques. On pourrait ainsi croire qu’il existe au niveau des systèmes des facteurs structurels, culturels ou autres qui influent sur la formation des croyances et des factors de vue genrés des élèves à propos des carrières dans les STEM et les TIC.
Confiance et réussite
Pour les filles et les garçons, le fait d’avoir une grande confiance dans ses compétences en mathématiques ou en sciences est associé à une plus grande probabilité de vouloir faire carrière dans les mathématiques ou les sciences.
Les garçons ont toutefois tendance à se sentir plus en confiance en mathématiques et en sciences que les filles. Le doc indique que les garçons qui réussissent mieux que les filles aspirent à choisir une carrière en mathématiques. C’est également le cas pour les garçons ayant des résultats faibles en mathématiques.
Pour les nombreuses jeunes femmes qui réussissent très bien en mathématiques et en sciences, le parcours d’études qu’elles suivent le plus souvent inclut la biologie, la médecine ou la psychologie plutôt que la physique, les mathématiques et l’ingénierie. La confiance en soi des filles constitue donc pour elles la clé de la poursuite d’études scientifiques.
Que pouvons-nous faire ?
Différents facteurs peuvent influer sur la confiance en soi. Les pairs, les mother and father, les enseignants et les conseillers d’orientation scolaire, ainsi que les matériels d’apprentissage, peuvent fixer, perpétuer ou même promouvoir les stéréotypes de style dans les STIM, en maintenant des filles et des femmes hautement qualifiées en dehors des domaines des STIM et des TIC.
Nous devons multiplier les possibilités pour les filles et les jeunes femmes de renforcer leur confiance en soi – et les autonomiser grâce à l’éducation et aux compétences technologiques – afin qu’elles puissent occuper leur place dans nos sociétés numériques et scientifiques en tant qu’ingénieures et innovatrices.
Lisez le document pour en savoir plus sur les stratégies nécessaires pour surmonter les obstacles sociaux et psychologiques susceptibles de freiner les filles et les femmes. Il s’agit notamment d’elements liés à l’orientation scolaire et professionnelle et au conseil, aux golf equipment STIM, aux helps d’enseignement et d’apprentissage, aux modèles et au mentorat, ainsi qu’à d’autres moyens de remettre en query les normes de style et d’encourager les filles à suivre la voie de leur choix.
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